Dior, défilé croisière 2014-2015
C’est emmené par le créateur belge Raf Simons, que la Maison Dior a mis le cap sur New-York, pour le premier défilé croisière de la saison 2014-2015. D’autres, comme Louis Vuitton, autre fleuron du Groupe LVMH, se tiendra prochainement à Monaco, ou encore Chanel à Dubaï.
Ces collections intermédiaires sont un avant-goût des prochaines, et surtout, elles offrent un vestiaire de mi-saison, en souvenir de cette époque où les femmes élégantes partaient quelques jours en croisière pour rompre avec la monotonie de l’hiver.
Ce mercredi à New-York, Raf Simons et Dior ont frappé fort : le défilé s’est tenu dans un entrepôt XXL dans les chantiers navals et les docks de Brooklyn. En toile de fond, les gratte-ciels de Manhattan, l’East River et des bateaux qui passent. Pour y accéder, c’était déjà une mini-croisière.
Au premier rang de ce voyage proposé par Dior, Marion Cotillard, une des égéries maison, Laetitia Casta ou Chiara Mastroianni pour les Françaises. Rihanna et Maggie Gyllenhaal pour les people américaines, entre autres, et entre autres, de très nombreuses socialites new-yorkaises qui certainement, partent au soleil au milieu de l'hiver.
Dans ce voyage au long cours, entre Paris et New York, le créateur a joué les contrastes entre le Paris placide, et l’énergie vibrante de New-York. Résultat, soixante-six passages : des femmes de têtes, stimulantes dans des tenues légères et urbaines, des jupes à la taille très haute portées sur des tops aériens, des robes en maille, des manteaux sans manches architecturés en tweed multico...
Surtout, la pièce maîtresse de ce défilé, et de la collection, est le carré de soie. Pièce emblématique, elle est réinventée et réinterprétée en haut aérien, en bride de sandales… Les foulards sont partout, parfois des carrés, dont les superpositions forment les robes, ou des tops fluides, à la fois géométriques dans leur structure et flous dans leurs impressions peintes à la main.
Une collection haut de gamme, qui balance sans cesse, entre le chic à la Française, et l’énergie américaine, la double référence omniprésente. Ce défilé croisière, comme le souvenir des cinq jours de traversée qu'il fallait aux élégantes, pour relier les deux villes en paquebot transatlantique.
Ces collections intermédiaires sont un avant-goût des prochaines, et surtout, elles offrent un vestiaire de mi-saison, en souvenir de cette époque où les femmes élégantes partaient quelques jours en croisière pour rompre avec la monotonie de l’hiver.
Ce mercredi à New-York, Raf Simons et Dior ont frappé fort : le défilé s’est tenu dans un entrepôt XXL dans les chantiers navals et les docks de Brooklyn. En toile de fond, les gratte-ciels de Manhattan, l’East River et des bateaux qui passent. Pour y accéder, c’était déjà une mini-croisière.
Au premier rang de ce voyage proposé par Dior, Marion Cotillard, une des égéries maison, Laetitia Casta ou Chiara Mastroianni pour les Françaises. Rihanna et Maggie Gyllenhaal pour les people américaines, entre autres, et entre autres, de très nombreuses socialites new-yorkaises qui certainement, partent au soleil au milieu de l'hiver.
Dans ce voyage au long cours, entre Paris et New York, le créateur a joué les contrastes entre le Paris placide, et l’énergie vibrante de New-York. Résultat, soixante-six passages : des femmes de têtes, stimulantes dans des tenues légères et urbaines, des jupes à la taille très haute portées sur des tops aériens, des robes en maille, des manteaux sans manches architecturés en tweed multico...
Surtout, la pièce maîtresse de ce défilé, et de la collection, est le carré de soie. Pièce emblématique, elle est réinventée et réinterprétée en haut aérien, en bride de sandales… Les foulards sont partout, parfois des carrés, dont les superpositions forment les robes, ou des tops fluides, à la fois géométriques dans leur structure et flous dans leurs impressions peintes à la main.
Une collection haut de gamme, qui balance sans cesse, entre le chic à la Française, et l’énergie américaine, la double référence omniprésente. Ce défilé croisière, comme le souvenir des cinq jours de traversée qu'il fallait aux élégantes, pour relier les deux villes en paquebot transatlantique.
