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Les gestes barrières sont pourtant faciles à respecter. Sur un cheval à plus d’un mètre du sol ou dans un box seul avec l’animal, on ne voit pas bien qui pourrait être contaminé. Mais à l’image de beaucoup d’activités qui étaient déjà organisées en fonction des contraintes sanitaires, les centres équestres ont fermé ce dernier mois. Mais pour les 6 500 centres équestres du pays, l’équation est bien plus complexe qu’une salle de musculation qui ferme les portes et laisse la poussière s’accumuler sur les équipements en attendant la réouverture. Chaque jour, un cheval de centre équestre dans un box doit se dégourdir les pates au moins deux heures.
Une spécificité qui donne lieu à une situation bien paradoxale. Empêchés par la loi d’être actif, les centres équestres l’ont tout de même été mais bénévolement. « Pour pallier ce besoin, la Fédération française d’équitation (FFE) a autorisé un système de bénévolat. Disponible sur son site, une attestation permet aux gérants des clubs d'accueillir jusqu'à 3 cavaliers par jour, pour une durée d’1h30 chacun, avec port du masque obligatoire » nous apprend Le Figaro .
L’activité maintenue est un casse-tête d’organisation avec pour seule certitude que les cavaliers dénichés ne rapporteront pas un centime aux centres déjà sous tension depuis le premier confinement. « Les clubs gardent encore les séquelles du printemps dernier, qui avait été un coup de massue pour la plupart d'entre eux. Pour éviter une nouvelle catastrophe financière, les gérants manœuvrent différemment cet automne. Certains tentent un remboursement, comme ce club près du bois de Vincennes qui a craint de perdre ses cavaliers. «Nous avons remboursé tout le mois de novembre, mais nous ne pourrons reproduire cela un mois de plus». D’autres préfèrent s’engager à rattraper les cours, sans certitude de ce que l'avenir permettra. D'autres enfin prévoient de réadapter leurs activités en fonction du contexte pandémique, par des séances d'équithérapie face à l'anxiété du confinement » ajoute le quotidien. Face à cela, les professionnels espèrent que le nombre de licenciés qui augmentaient en octobre va garder cette tendance.
Une spécificité qui donne lieu à une situation bien paradoxale. Empêchés par la loi d’être actif, les centres équestres l’ont tout de même été mais bénévolement. « Pour pallier ce besoin, la Fédération française d’équitation (FFE) a autorisé un système de bénévolat. Disponible sur son site, une attestation permet aux gérants des clubs d'accueillir jusqu'à 3 cavaliers par jour, pour une durée d’1h30 chacun, avec port du masque obligatoire » nous apprend Le Figaro .
L’activité maintenue est un casse-tête d’organisation avec pour seule certitude que les cavaliers dénichés ne rapporteront pas un centime aux centres déjà sous tension depuis le premier confinement. « Les clubs gardent encore les séquelles du printemps dernier, qui avait été un coup de massue pour la plupart d'entre eux. Pour éviter une nouvelle catastrophe financière, les gérants manœuvrent différemment cet automne. Certains tentent un remboursement, comme ce club près du bois de Vincennes qui a craint de perdre ses cavaliers. «Nous avons remboursé tout le mois de novembre, mais nous ne pourrons reproduire cela un mois de plus». D’autres préfèrent s’engager à rattraper les cours, sans certitude de ce que l'avenir permettra. D'autres enfin prévoient de réadapter leurs activités en fonction du contexte pandémique, par des séances d'équithérapie face à l'anxiété du confinement » ajoute le quotidien. Face à cela, les professionnels espèrent que le nombre de licenciés qui augmentaient en octobre va garder cette tendance.