Une nouvelle tendance débarque en France. Le crowdspeaking. Comme le crowdfunding, elle s’appuie sur les valeurs participatives, d’échange et de partage. À la seule différence, que le crowdspeaking touche le domaine de la communication. En d’autres termes, il s’agit de communication participative. Comme de bien entendu, ce courant débarque des États-Unis, où il « a fait ses preuves », rapporte le site tendance-entreprise.com. Aujourd’hui, il séduit les start-up hexagonales. Le modèle de crowdspeaking le plus connu, est celui de la plateforme américaine Thunderclap.
On peut aussi citer Wibuzz, première plateforme de crowdspeaking française. Soit, peut-on lire sur le site, la « communication par la foule dédiée à la créativité, à l'innovation et à la solidarité ». L’idée est de se « rassembler pour soutenir des causes et des projets créatifs. » Le principe est le même que le crowdfunding, le financement participatif. Le fonctionnement est le même que celui de la plateforme Kickstarter par exemple. Seulement, dans le cas du crowdspeaking, on ne donne pas d’argent, mais les internautes « donnent » des tweets en nombre, ou des posts sur les réseaux et médias sociaux.
Une manière pour tout un chacun, particuliers comme entreprises, de se rallier les uns aux autres, afin de faire passer un message. C’est le moyen pour les internautes de montrer « leur fan attitude » à des « entreprises en recherche de communication », explique le site tendance-entreprise.com. C’est la communication participative, ou comment « poster son projet, lancer une campagne avec une date de début et une date de fin, séduire la communauté », cite encore le site.
Dans la pratique, une entreprise, une association ou une start-up par exemple, vont déterminer « un objectif de supporters à atteindre à l’issue de sa campagne » précise également le site tendance-entreprise.com. La campagne peut être une campagne afin de lancer un nouveau produit, de déclencher une offre promotionnelle... Aux internautes de jouer. S’ils adhèrent au projet, ils vont également accepter « une communication automatique de l’entreprise qu’ils supportent, sur leurs propres réseaux sociaux. » La communication participative, ou la nouvelle manière de faire le buzz.
On peut aussi citer Wibuzz, première plateforme de crowdspeaking française. Soit, peut-on lire sur le site, la « communication par la foule dédiée à la créativité, à l'innovation et à la solidarité ». L’idée est de se « rassembler pour soutenir des causes et des projets créatifs. » Le principe est le même que le crowdfunding, le financement participatif. Le fonctionnement est le même que celui de la plateforme Kickstarter par exemple. Seulement, dans le cas du crowdspeaking, on ne donne pas d’argent, mais les internautes « donnent » des tweets en nombre, ou des posts sur les réseaux et médias sociaux.
Une manière pour tout un chacun, particuliers comme entreprises, de se rallier les uns aux autres, afin de faire passer un message. C’est le moyen pour les internautes de montrer « leur fan attitude » à des « entreprises en recherche de communication », explique le site tendance-entreprise.com. C’est la communication participative, ou comment « poster son projet, lancer une campagne avec une date de début et une date de fin, séduire la communauté », cite encore le site.
Dans la pratique, une entreprise, une association ou une start-up par exemple, vont déterminer « un objectif de supporters à atteindre à l’issue de sa campagne » précise également le site tendance-entreprise.com. La campagne peut être une campagne afin de lancer un nouveau produit, de déclencher une offre promotionnelle... Aux internautes de jouer. S’ils adhèrent au projet, ils vont également accepter « une communication automatique de l’entreprise qu’ils supportent, sur leurs propres réseaux sociaux. » La communication participative, ou la nouvelle manière de faire le buzz.