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Les masques reviendront certainement en premier dans les lieux publics. Mais ensuite ? Jusqu’où iront les mesures de restrictions si un regain épidémique Covid-19 est confirmé ? Les prévisions de cet été semblent en tout cas se réaliser puisque nous sommes bien en présence d’une huitième vague, ou du moins ses débuts. « Après deux mois de baisse constante, avec une moyenne de 17.000 nouvelles contaminations quotidiennes, ces dernières sont à la hausse. En effet, en une semaine, elles ont augmenté de 66,7%, selon Santé Publique France. En une semaine, la plupart des départements ont vu le nombre de contaminations augmenter entre 20% et 40%. Les territoires les plus soumis à cette reprise épidémique sont l'Orne (+63%), l'Aisne (+55%), le Cher (+52%), le Calvados (+47%), la Mayenne (+45%), la Marne (+46%), le Loiret (+48%) » rapporte Le Figaro .
Ces signes de circulation du virus s’expliqueraient notamment par la reprise des classes et donc les écoles et collèges. « En attendant, la totalité des contaminations actuelles sont dues au variant Omicron et plus particulièrement la mutation BA.5. Cette dernière, venue d'Afrique du Sud, «se diffuse plus rapidement dans la population», tranche le professeur Anne-Claude Crémieux, infectiologue à l'hôpital Saint-Louis à Paris, «mais n'est pas plus virulente». Les nouveaux contaminés au BA.5 souffrent de maux de gorge, tête, parfois ventre et de nausées. «Mais les poumons ne sont pas attaqués comme avec le Delta»,rassurait en juin dernier le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital Tenon à Paris » rapporte le quotidien.
Les experts interrogés par Le Figaro sont rassurants sur les conséquences d’une nouvelle épidémie et assurent que les nouveaux variants sont moins susceptibles de causer des formes graves. Alors que l’OMS a pour la première fois été rassurant sur la possibilité de tourner la page du covid, sans affirmer que cela était imminent, les gouvernants sont au pied du mur concernant les mesures qui seront prises.
Ces signes de circulation du virus s’expliqueraient notamment par la reprise des classes et donc les écoles et collèges. « En attendant, la totalité des contaminations actuelles sont dues au variant Omicron et plus particulièrement la mutation BA.5. Cette dernière, venue d'Afrique du Sud, «se diffuse plus rapidement dans la population», tranche le professeur Anne-Claude Crémieux, infectiologue à l'hôpital Saint-Louis à Paris, «mais n'est pas plus virulente». Les nouveaux contaminés au BA.5 souffrent de maux de gorge, tête, parfois ventre et de nausées. «Mais les poumons ne sont pas attaqués comme avec le Delta»,rassurait en juin dernier le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital Tenon à Paris » rapporte le quotidien.
Les experts interrogés par Le Figaro sont rassurants sur les conséquences d’une nouvelle épidémie et assurent que les nouveaux variants sont moins susceptibles de causer des formes graves. Alors que l’OMS a pour la première fois été rassurant sur la possibilité de tourner la page du covid, sans affirmer que cela était imminent, les gouvernants sont au pied du mur concernant les mesures qui seront prises.