Voilà qui va peut-être pousser les hommes à faire le ménage. Voilà qui va peut-être, par la même occasion, devenir un levier de négociation pour les femmes ? Trêve de plaisanterie. Une étude américaine vient en effet de démontrer que la vie sexuelle des couples avec enfants, se consolide ou s’améliore quand les corvées domestiques sont partagées de manière égale. Par corvées domestiques, comprendre : ménage, courses et tout ce qui touche aux enfants.
Comme quoi, au sein du couple, faire le ménage a son importance. Et pas seulement pour la propreté ou éviter les conflits. Depuis quelques années, on sait que les hommes participant aux tâches ménagères sont plus heureux que les autres. Mais depuis la publication des résultats de l’étude menée par l’ASA, l’American Sociological Association au mois d’août dernier, c’est le couple dans son ensemble, homme et femme, qui s’y retrouve. Les membres du couple seraient en effet plus épanouis lorsqu’ils partagent les tâches domestiques. Et point d’orgue, l’épanouissement se ferait sentir jusque « sous la couette », précise le site de Madame.lefigaro.fr !
Ainsi, le partage des tâches bien reparti entre les deux conjoints, y compris s’occuper des enfants, de façon égale en temps, jouerait sur la vie amoureuse. Dans les faits, le fossé est souvent grand entre les femmes et les hommes. L’INSEE, L'Institut national de la statistique et des études économiques estime que les femmes consacrent 4h01 par jour aux tâches ménagères, contre 2h13 pour les hommes, soit deux fois moins. C’est sur cet écart de temps que les chercheurs de l’ASA ont particulièrement planché.
Pour ce faire, ils ont interrogé, indique le site du Figaro Madame, 487 couples hétérosexuels, répartis en trois catégories : « les couples où la femme fait plus de 60% des tâches domestiques, ceux où l'homme en accomplit 60%, et ceux chez qui c'est 50-50. » Résultat des courses, et c’est le cas de le dire, quand le gap est trop grand entre les parents, cela impacte leur vie sexuelle et amoureuse. D’ailleurs, plus le décalage est important et plus la situation est tendue sous la couette. L’étude de l’ASA démontre que le conjoint qui se coltine le max de tâches chaque jour, est « le moins satisfait de sa vie sexuelle. » Le partage des tâches de façon équilibrée serait donc une des conditions pour avoir une vie sexuelle épanouie. De quoi réfléchir, en faire plus, et envisager une réconciliation sur l’oreiller.
Comme quoi, au sein du couple, faire le ménage a son importance. Et pas seulement pour la propreté ou éviter les conflits. Depuis quelques années, on sait que les hommes participant aux tâches ménagères sont plus heureux que les autres. Mais depuis la publication des résultats de l’étude menée par l’ASA, l’American Sociological Association au mois d’août dernier, c’est le couple dans son ensemble, homme et femme, qui s’y retrouve. Les membres du couple seraient en effet plus épanouis lorsqu’ils partagent les tâches domestiques. Et point d’orgue, l’épanouissement se ferait sentir jusque « sous la couette », précise le site de Madame.lefigaro.fr !
Ainsi, le partage des tâches bien reparti entre les deux conjoints, y compris s’occuper des enfants, de façon égale en temps, jouerait sur la vie amoureuse. Dans les faits, le fossé est souvent grand entre les femmes et les hommes. L’INSEE, L'Institut national de la statistique et des études économiques estime que les femmes consacrent 4h01 par jour aux tâches ménagères, contre 2h13 pour les hommes, soit deux fois moins. C’est sur cet écart de temps que les chercheurs de l’ASA ont particulièrement planché.
Pour ce faire, ils ont interrogé, indique le site du Figaro Madame, 487 couples hétérosexuels, répartis en trois catégories : « les couples où la femme fait plus de 60% des tâches domestiques, ceux où l'homme en accomplit 60%, et ceux chez qui c'est 50-50. » Résultat des courses, et c’est le cas de le dire, quand le gap est trop grand entre les parents, cela impacte leur vie sexuelle et amoureuse. D’ailleurs, plus le décalage est important et plus la situation est tendue sous la couette. L’étude de l’ASA démontre que le conjoint qui se coltine le max de tâches chaque jour, est « le moins satisfait de sa vie sexuelle. » Le partage des tâches de façon équilibrée serait donc une des conditions pour avoir une vie sexuelle épanouie. De quoi réfléchir, en faire plus, et envisager une réconciliation sur l’oreiller.