Communiquer en permanence
« Vivons connectés pour rester visible ». C’est un principe d’existence dans un monde social. C’est ainsi que répond Maxime, un jeune gérant d’une boutique de vente de vin en plein cœur de Paris.
Ce succès des réseaux sociaux vient sans nul doute des progrès technologiques qui ouvrent la voie à une communication quelque-peu différente. Aujourd’hui ces réseaux se sont démocratisés pour communiquer. Un moyen de communication essentiel, un peu comme l’eau chaude à la maison.
L’information va plus vite, elle tourne. Elle n’est pas forcément plus précise, mais extrêmement délayée et pas toujours pertinente. Néanmoins, c’est une distraction qui permet de visualiser des tendances. Alors quel intérêt au travail ? Rappelons que l’accès à internet sur le lieu de travail était encore il y a quelques années réservées à certains cadres. Aujourd’hui, il n’y a plus lieu d’interdire, puisque les tablettes et smartphones sont dans la plupart des cas autorisés au poste de travail.
Effets vertueux des réseaux sociaux
Il semble aujourd’hui difficile de distinguer la frontière entre réseaux sociaux, vie professionnelle et vie privée.
D’ailleurs, les patrons sont eux-mêmes utilisateurs de ces réseaux, et leur tolérance pour leurs collaborateurs d’utiliser les réseaux sociaux au travail est effective. D’ailleurs, un peu moins de la moitié des entrepreneurs pensent que l’utilisation des réseaux sociaux par leurs employés sur leur lieu de travail est vertueux (enquête Proskauer, décembre 2012).
De nombreux patron connectés eux-mêmes pensent que l’accès aux réseaux sociaux en entreprise est stimulant, et renforcent le sentiment d’engagement des salariés. C’est un moyen de rassurer les parents qui font garder leurs enfants ou qui souhaitent localiser leurs enfants en toute discrétion.
Par ailleurs, cette ouverture aux réseaux permet d’être davantage créatif et aussi aurait pour conséquence d’effectuer une publicité virale pour l’entreprise. Cette attitude permet aussi de gagner en estime et en image auprès des collaborateurs et de leurs amis.
Contrôle de l’utilisation
« Il est important que les salariés soient informés et même formés à l’utilisation de ces réseaux, qu’ils connaissent l’usage qu’ils peuvent en faire et les risques qu’ils encourent en cas d’abus de leur part » affirme Maître Cécile Martin du cabinet d’avocat Proskauer. En effet, en cas de dérapage sur le lieu de travail dans l’utilisation des réseaux sociaux, les conséquences pourraient être lourdes pour les employeurs. Non seulement les risques psychosociaux peuvent s’enflammer, mais également les problèmes éthiques, d’intelligence économique ou de respect des individus entre eux.
En cas de surveillance, l’employeur est tenu d’en informer ses collaborateurs. Pour le moment, le code du travail ne mentionne pas explicitement une réglementation à propos des réseaux sociaux.
La jurisprudence reste encore vague en ce qui concerne les propos tenus entre employés sans qu’ils soient explicitement cités ou décrits de manière inéluctable. C’est la raison pour laquelle la responsabilité pénale du dirigeant ne peut pas être engagée, mais une utilisation « saine » s’impose.
« Vivons connectés pour rester visible ». C’est un principe d’existence dans un monde social. C’est ainsi que répond Maxime, un jeune gérant d’une boutique de vente de vin en plein cœur de Paris.
Ce succès des réseaux sociaux vient sans nul doute des progrès technologiques qui ouvrent la voie à une communication quelque-peu différente. Aujourd’hui ces réseaux se sont démocratisés pour communiquer. Un moyen de communication essentiel, un peu comme l’eau chaude à la maison.
L’information va plus vite, elle tourne. Elle n’est pas forcément plus précise, mais extrêmement délayée et pas toujours pertinente. Néanmoins, c’est une distraction qui permet de visualiser des tendances. Alors quel intérêt au travail ? Rappelons que l’accès à internet sur le lieu de travail était encore il y a quelques années réservées à certains cadres. Aujourd’hui, il n’y a plus lieu d’interdire, puisque les tablettes et smartphones sont dans la plupart des cas autorisés au poste de travail.
Effets vertueux des réseaux sociaux
Il semble aujourd’hui difficile de distinguer la frontière entre réseaux sociaux, vie professionnelle et vie privée.
D’ailleurs, les patrons sont eux-mêmes utilisateurs de ces réseaux, et leur tolérance pour leurs collaborateurs d’utiliser les réseaux sociaux au travail est effective. D’ailleurs, un peu moins de la moitié des entrepreneurs pensent que l’utilisation des réseaux sociaux par leurs employés sur leur lieu de travail est vertueux (enquête Proskauer, décembre 2012).
De nombreux patron connectés eux-mêmes pensent que l’accès aux réseaux sociaux en entreprise est stimulant, et renforcent le sentiment d’engagement des salariés. C’est un moyen de rassurer les parents qui font garder leurs enfants ou qui souhaitent localiser leurs enfants en toute discrétion.
Par ailleurs, cette ouverture aux réseaux permet d’être davantage créatif et aussi aurait pour conséquence d’effectuer une publicité virale pour l’entreprise. Cette attitude permet aussi de gagner en estime et en image auprès des collaborateurs et de leurs amis.
Contrôle de l’utilisation
« Il est important que les salariés soient informés et même formés à l’utilisation de ces réseaux, qu’ils connaissent l’usage qu’ils peuvent en faire et les risques qu’ils encourent en cas d’abus de leur part » affirme Maître Cécile Martin du cabinet d’avocat Proskauer. En effet, en cas de dérapage sur le lieu de travail dans l’utilisation des réseaux sociaux, les conséquences pourraient être lourdes pour les employeurs. Non seulement les risques psychosociaux peuvent s’enflammer, mais également les problèmes éthiques, d’intelligence économique ou de respect des individus entre eux.
En cas de surveillance, l’employeur est tenu d’en informer ses collaborateurs. Pour le moment, le code du travail ne mentionne pas explicitement une réglementation à propos des réseaux sociaux.
La jurisprudence reste encore vague en ce qui concerne les propos tenus entre employés sans qu’ils soient explicitement cités ou décrits de manière inéluctable. C’est la raison pour laquelle la responsabilité pénale du dirigeant ne peut pas être engagée, mais une utilisation « saine » s’impose.