On dit que le code est un domaine masculin. Pour contredire cette idée reçue, il faut se jeter sur le documentaire de Lesley Chilcott, CodeGirl, à voir sur YouTube. Il raconte comment des jeunes filles âgées de 10 à 18 ans, ont vu leur destin bouleversé par le code. Et dans la foulée, celui de leur famille. CodeGirl suit ces jeunes filles, partout à travers le monde : l’une est ouzbek, l’autre russe, une autre américaine ou encore une brésilienne... Issues de milieux modestes ou favorisés, elles ont réussi là où on ne les attendait pas. Et pourtant... Un jour, elles ont imaginé des applications mobiles innovantes, parfois révolutionnaires. Et le succès était au rendez-vous.
Alors que dans l'inconscient collectif, le code serait une activité réservée aux garçons, elles se sont mises à coder. Autrement dit, à développer des programmes informatiques. À la base, l’idée était juste de participer à un concours. Et puis les choses se sont emballées. Elles ont suivi des cours d'informatique, d’analyse marketing. Elles ont été formées pour inventer et concevoir des applications mobiles. Loin des gadgets, le résultat est à la hauteur : entre autres, elles ont créé « des dispositifs d'enlèvement de déchets sur-mesure, des outils pédagogiques pour limiter la consommation d'eau, d'aide au contrôle de la violence ou de lutte contre le cyber-harcèlement », rapporte Le Figaro. Du pointu, du technique, mais surtout de l’utile.
CodeGirl a cela de remarquable : le film montre comment des jeunes filles, très éloignées au début de l’aventure, des écosystèmes numériques, des start-up, ou tout simplement du monde de l’informatique, ont réussi à imaginer des « solutions innovantes pour améliorer le quotidien de leur communauté », ajoute Le Figaro. La réalisatrice du documentaire a suivi dix équipes de filles, jusqu'à la finale du concours Technovation, « The Global Technology Entrepreneurship Program for Girls. » Ce programme, mis sur orbite en 2013, a déjà permis à 3 000 jeunes filles de se familiariser avec le digital, et par là-même, de s’en sortir. L’idée que les filles ne peuvent pas coder est vraiment complètement dépassée. S'il elles veulent, elles sont aussi geeks que les garçons, CodeGirl en est la preuve.
Alors que dans l'inconscient collectif, le code serait une activité réservée aux garçons, elles se sont mises à coder. Autrement dit, à développer des programmes informatiques. À la base, l’idée était juste de participer à un concours. Et puis les choses se sont emballées. Elles ont suivi des cours d'informatique, d’analyse marketing. Elles ont été formées pour inventer et concevoir des applications mobiles. Loin des gadgets, le résultat est à la hauteur : entre autres, elles ont créé « des dispositifs d'enlèvement de déchets sur-mesure, des outils pédagogiques pour limiter la consommation d'eau, d'aide au contrôle de la violence ou de lutte contre le cyber-harcèlement », rapporte Le Figaro. Du pointu, du technique, mais surtout de l’utile.
CodeGirl a cela de remarquable : le film montre comment des jeunes filles, très éloignées au début de l’aventure, des écosystèmes numériques, des start-up, ou tout simplement du monde de l’informatique, ont réussi à imaginer des « solutions innovantes pour améliorer le quotidien de leur communauté », ajoute Le Figaro. La réalisatrice du documentaire a suivi dix équipes de filles, jusqu'à la finale du concours Technovation, « The Global Technology Entrepreneurship Program for Girls. » Ce programme, mis sur orbite en 2013, a déjà permis à 3 000 jeunes filles de se familiariser avec le digital, et par là-même, de s’en sortir. L’idée que les filles ne peuvent pas coder est vraiment complètement dépassée. S'il elles veulent, elles sont aussi geeks que les garçons, CodeGirl en est la preuve.