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Une marque française dans le catalogue Coca-Cola. C’est bien la dernière chose qu’il manquait au groupe mondial. Pendant des années première marque au monde, Coca-Cola a été doublé puis distancié très sérieusement par les géants du web et des nouvelles technologies. Pour autant, la marque reste un mastodonte. Elle le prouve en continuant sa boulimie dans son secteur. « Pour étancher la soif des Terriens, le géant d'Atlanta multiplie les acquisitions. Quelques jours après avoir signé la plus importante de son histoire en s'offrant Costa Coffee pour 4,3 milliards d'euros, le groupe a conclu vendredi celle de Tropico. Avec cette boisson aux fruits (29 millions d'euros de chiffre d'affaires) propriété de la famille Folliet depuis 2005, le groupe réalise son premier achat d'une marque française » annonce Le Figaro.
Profitant de sa position ultra dominante, Coca-Cola est en fait entrain de continuer son repositionnement stratégique pour être beaucoup plus que l’entreprise de la boisson gazeuse noire. Déjà parce que c’est une nécessité dans le monde des affaires, mais aussi parce que la lutte contre la malbouffe est mondiale et que le Coca en est l’emblème. « Au niveau mondial, The Coca-Cola Company cherche à réduire sa dépendance à sa boisson phare en étendant sa présence sur d'autres catégories de boissons. Or sa filiale française était à la traîne: en 2017, Coca, Fanta et Sprite représentaient 90 % de son activité. Surtout, propriétaire d'Oasis en Angleterre, de Fruitopia aux États-Unis ou de Cappy en Europe de l'Est, Coca était absent des boissons plates aux fruits en France, où cette catégorie est croissance » explique le quotidien français. Avec Tropico, c’est un bon pied dans la porte dans le domaine puisque la marque règne sur 50% des parts de marché avec une notoriété de 78% dans le pays.
Lire ici en intégralité l’article sur le site du journal Le Figaro
Profitant de sa position ultra dominante, Coca-Cola est en fait entrain de continuer son repositionnement stratégique pour être beaucoup plus que l’entreprise de la boisson gazeuse noire. Déjà parce que c’est une nécessité dans le monde des affaires, mais aussi parce que la lutte contre la malbouffe est mondiale et que le Coca en est l’emblème. « Au niveau mondial, The Coca-Cola Company cherche à réduire sa dépendance à sa boisson phare en étendant sa présence sur d'autres catégories de boissons. Or sa filiale française était à la traîne: en 2017, Coca, Fanta et Sprite représentaient 90 % de son activité. Surtout, propriétaire d'Oasis en Angleterre, de Fruitopia aux États-Unis ou de Cappy en Europe de l'Est, Coca était absent des boissons plates aux fruits en France, où cette catégorie est croissance » explique le quotidien français. Avec Tropico, c’est un bon pied dans la porte dans le domaine puisque la marque règne sur 50% des parts de marché avec une notoriété de 78% dans le pays.
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