On pourrait dire, pour ne plus être grillé… L’application Clear agit sur les principaux réseaux sociaux : Facebook, Instagram et Twitter. Comment ? En supprimant tous les posts jugés risqués, audacieux. Autrement dit, compromettants : photos hasardeuses, messages et tweets que l’on regrette d’avoir envoyé après coup, statuts risibles… De quoi se refaire une virginité. En premier lieu, supprimer tout ce qui pourrait entraver sa carrière.
C’est le concept de Clear, imaginé par l’Américain Ethan Czahor. Et il sait de quoi il parle : « J'ai créé Clear pour éviter qu'une situation comme la mienne ne se reproduise », dit-il à L’Express. Recruté pour la campagne du gouverneur de Floride, il a été rattrapé par de vieux tweets embarrassants, sexistes et homophobes. Ethan Czahor a été blackboulé manu militari.
Comment fonctionne Clear ? Spontanément, l'application se connecte aux comptes Facebook, Twitter ou Instagram de l’utilisateur. Grâce à des algorithmes, elle passe au crible son profil dans son intégralité. Elle relève ensuite les posts litigieux. Elle offre alors à l’internaute, la possibilité de retirer messages, statuts ou photos compromettants. Évidemment, tout cela reste relatif. Car avec quels critères l’algorithme va t-il décider du caractère offensant d’un tweet ? Vous avez dit casse-tête ? Mieux vaut être son propre censeur...
C’est le concept de Clear, imaginé par l’Américain Ethan Czahor. Et il sait de quoi il parle : « J'ai créé Clear pour éviter qu'une situation comme la mienne ne se reproduise », dit-il à L’Express. Recruté pour la campagne du gouverneur de Floride, il a été rattrapé par de vieux tweets embarrassants, sexistes et homophobes. Ethan Czahor a été blackboulé manu militari.
Comment fonctionne Clear ? Spontanément, l'application se connecte aux comptes Facebook, Twitter ou Instagram de l’utilisateur. Grâce à des algorithmes, elle passe au crible son profil dans son intégralité. Elle relève ensuite les posts litigieux. Elle offre alors à l’internaute, la possibilité de retirer messages, statuts ou photos compromettants. Évidemment, tout cela reste relatif. Car avec quels critères l’algorithme va t-il décider du caractère offensant d’un tweet ? Vous avez dit casse-tête ? Mieux vaut être son propre censeur...