Source : Pixabay, image libre de droits.
Les programmes présentés au Mipcom montrent l’exemple, en mettant à l’écran « moins de princesses, plus de filles courageuses et d'animaux sans sexe défini », comme l’explique un article en ligne du journal Le Parisien.
Tiphaine de Raguenel, directrice du pôle jeunesse de France Télévisions, qui dirige également la chaîne France 4, assure : « On cherche des rôles qui puissent être des modèles pour les filles d'aujourd'hui (…) On essaie de ne pas avoir que des princesses, des fées ou des garçons manqués. »
Tiphaine de Raguenel, directrice du pôle jeunesse de France Télévisions, qui dirige également la chaîne France 4, assure : « On cherche des rôles qui puissent être des modèles pour les filles d'aujourd'hui (…) On essaie de ne pas avoir que des princesses, des fées ou des garçons manqués. »
Des caractères moins stéréotypés
L’article du Parisien souligne que « les studios Disney, souvent pointés du doigt pour leurs personnages de faibles princesses, ont initié de leur côté une petite révolution en publiant récemment dix règles ‘pour être une princesse’. Si elles recommandent aux filles de ‘ne jamais abandonner’, ou de ‘vivre sainement’, ces nouvelles règles ne font jamais référence à leur style ou leur beauté. »
L’article ajoute que depuis les années 1990, « certaines héroïnes de Disney ont aussi hérité de caractères moins stéréotypés, comme Mulan qui se bat à la place de son père, ou la petite hawaïenne Lilo, l'amie courageuse et forte en caractère de l'extraterrestre Stitch. »
Ainsi, « dans la série d'animation française "Les enquêtes de Mirette", présentée au Mipcom, une petite héritière de Fantômette parcourt la planète toute seule pour résoudre des mystères, accompagnée d'un chat feignant. »
Au Brésil, « l'apprentie fée de la série "SOS Fada Manu" sauve souvent la situation avec son parapluie magique, alors que son ami João est bien plus peureux. »
L’experte britannique Emma Worrollo du cabinet d'études britannique The Pineapple Lounge, constate : « Cette génération veut des personnages aux identités plus fluides. »
Par exemple, « dans la trilogie Hunger Games, l'archère-star Katniss Everdeen, jouée par Jennifer Lawrence, passionne autant les filles que les garçons. »
Emma Worrollo ajoute que cette identité est très efficace, « pas parce que c'est une fille, mais parce que c'est un super personnage. »
Lire l’intégralité de l’article du Parisien ici.
L’article ajoute que depuis les années 1990, « certaines héroïnes de Disney ont aussi hérité de caractères moins stéréotypés, comme Mulan qui se bat à la place de son père, ou la petite hawaïenne Lilo, l'amie courageuse et forte en caractère de l'extraterrestre Stitch. »
Ainsi, « dans la série d'animation française "Les enquêtes de Mirette", présentée au Mipcom, une petite héritière de Fantômette parcourt la planète toute seule pour résoudre des mystères, accompagnée d'un chat feignant. »
Au Brésil, « l'apprentie fée de la série "SOS Fada Manu" sauve souvent la situation avec son parapluie magique, alors que son ami João est bien plus peureux. »
L’experte britannique Emma Worrollo du cabinet d'études britannique The Pineapple Lounge, constate : « Cette génération veut des personnages aux identités plus fluides. »
Par exemple, « dans la trilogie Hunger Games, l'archère-star Katniss Everdeen, jouée par Jennifer Lawrence, passionne autant les filles que les garçons. »
Emma Worrollo ajoute que cette identité est très efficace, « pas parce que c'est une fille, mais parce que c'est un super personnage. »
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