« Dark side of the chew » d’Andrew Nisker
Le truc qui colle et qui colle tellement qu’on ne peut pas s’en débarrasser. Le truc qui colle est le chewing-gum. Dans le documentaire qui lui est consacré, Dark side of the chew, on découvre sa face cachée. Et ça craint. Ça craint pour l’environnement. En effet, le chewing-gum est « le second déchet le plus produit sur la planète, après les mégots », rapporte le site de 20 Minutes.fr.
Tous ces scoops et infos peu ragoûtantes proviennent du film d’Andrew Nisker qui sera montré cette semaine lors du Festival international du film d’environnement qui se tient à Paris. On apprend que le chewing-gum est avant tout un petit bout de plastique. Pire, il ne se dégrade pas. Tous les Bobos qui le mâchouillent pour faire genre, devraient savoir que c’est un super pollueur. S’il pollue leurs corps, le sujet qui nous intéresse est aussi et surtout, qu’il pollue la planète. Mâcher du chewing-gum, c’est comme « mâcher du pétrole », explique l’auteur du documentaire à 20 Minutes. « La base des chewing-gums est constituée de gomme synthétique fabriquée avec des dérivés du pétrole » apprend t-on.
Une fois mâchouillé et jeté dans la nature, les méfaits du chewing-gum sont considérables. D'abord, c’est un des déchets le plus important à l’échelle de la planète. Il se situe en seconde place derrière le mégot de cigarette, autre hérésie. Comme il n’est pas biodégradable, il empoisonne les rivières et cours d’eaux. Et il les pollue pendant très longtemps. La solution, si on ne veut pas interdire la fabrication et la commercialisation de chewing-gum – on pressent que le lobby doit être puissant – serait de généraliser la production de chewing-gums naturels. Et de relayer l’information : jeter sa gomme par terre a un impact réel et durable sur l’environnement. Et ne convient pas du tout avec l’idée que Bobo se fait du monde en mangeant Bio...
Tous ces scoops et infos peu ragoûtantes proviennent du film d’Andrew Nisker qui sera montré cette semaine lors du Festival international du film d’environnement qui se tient à Paris. On apprend que le chewing-gum est avant tout un petit bout de plastique. Pire, il ne se dégrade pas. Tous les Bobos qui le mâchouillent pour faire genre, devraient savoir que c’est un super pollueur. S’il pollue leurs corps, le sujet qui nous intéresse est aussi et surtout, qu’il pollue la planète. Mâcher du chewing-gum, c’est comme « mâcher du pétrole », explique l’auteur du documentaire à 20 Minutes. « La base des chewing-gums est constituée de gomme synthétique fabriquée avec des dérivés du pétrole » apprend t-on.
Une fois mâchouillé et jeté dans la nature, les méfaits du chewing-gum sont considérables. D'abord, c’est un des déchets le plus important à l’échelle de la planète. Il se situe en seconde place derrière le mégot de cigarette, autre hérésie. Comme il n’est pas biodégradable, il empoisonne les rivières et cours d’eaux. Et il les pollue pendant très longtemps. La solution, si on ne veut pas interdire la fabrication et la commercialisation de chewing-gum – on pressent que le lobby doit être puissant – serait de généraliser la production de chewing-gums naturels. Et de relayer l’information : jeter sa gomme par terre a un impact réel et durable sur l’environnement. Et ne convient pas du tout avec l’idée que Bobo se fait du monde en mangeant Bio...