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Même si vous avez des buts dans la vie, si un poids lourd vous renverse, ça ne changera pas grand-chose. Pour autant, une récente étude tend à démontrer qu’il existe un lien entre l’espérance de vie et le fait d’avoir des objectifs clairs et motivants. « L'étude américaine se base sur les résultats d'un questionnaire soumis à 7000 quinquagénaires (hommes et femmes) des quatre coins des États-Unis. La chercheuse Celeste Leigh Pearce, qui a participé à l'étude, explique qu'elle était extrêmement sceptique avant de lancer ce travail de recherche, mais que les conclusions obtenues lui ont semblé si convaincantes qu'elle est actuellement en train de développer un programme de recherche plus large sur le sujet » relève Slate.fr .
L’une des leçons de son étude est que les personnes qui n’ont pas d’objectif qui les enthousiasment meurent plus souvent de façon précoce que les autres. « Pour le professeur Alan Rozanski, qui n'a pas participé à cette étude mais travaille sur des thématiques voisines, les résultats édifiants montrent que les besoins vitaux des hommes et des femmes vont bien au-delà du fait de boire, manger et dormir. «Il existe aussi des besoins psychologiques de base, et le fait de vouloir donner un sens et un objectif à son existence est en tête de liste», explique-t-il. «C'est le plus grand vecteur de bien-être qui soit». En 2016, Rozanski avait recoupé les résultats d'une dizaine d'études pour affirmer lui aussi qu'une corrélation existait entre volonté d'accomplissement et réduction des risques de décès et/ou d'accident cardiovasculaire » continue l’article.
Ces données chiffrées confirment les impressions des professionnels de santé. Dans de nombreux cas ils observent que les différences de réactions des patients à des traitements ou à des pathologies répondent à des logiques qui les dépassent. Le mental a encore des secrets que la science observe sans vraiment les comprendre.
L’une des leçons de son étude est que les personnes qui n’ont pas d’objectif qui les enthousiasment meurent plus souvent de façon précoce que les autres. « Pour le professeur Alan Rozanski, qui n'a pas participé à cette étude mais travaille sur des thématiques voisines, les résultats édifiants montrent que les besoins vitaux des hommes et des femmes vont bien au-delà du fait de boire, manger et dormir. «Il existe aussi des besoins psychologiques de base, et le fait de vouloir donner un sens et un objectif à son existence est en tête de liste», explique-t-il. «C'est le plus grand vecteur de bien-être qui soit». En 2016, Rozanski avait recoupé les résultats d'une dizaine d'études pour affirmer lui aussi qu'une corrélation existait entre volonté d'accomplissement et réduction des risques de décès et/ou d'accident cardiovasculaire » continue l’article.
Ces données chiffrées confirment les impressions des professionnels de santé. Dans de nombreux cas ils observent que les différences de réactions des patients à des traitements ou à des pathologies répondent à des logiques qui les dépassent. Le mental a encore des secrets que la science observe sans vraiment les comprendre.