Sardines à l’huile, fraîches, à la tomate, aux achards, en conserve, à la plancha, grillées… La sardine prend sa revanche. Longtemps considérée comme le poisson du pauvre, elle monte en grade. Pour preuve, pléthore de restaurants, de bistrots ou d’épiceries fines consacrent menus, plats et rayons à Sardina pilchardus. Aujourd'hui, dans la veine des mono-produits, et de la mode de la bistronomie, la sardine n’est pas en reste.
Ainsi, à Marseille, est né le premier bar à sardines du monde, à la fois boutique, restaurant et bientôt cave. Sard'in surfe en effet sur la mode des bars ou food trucks thématiques. Le premier bar du genre, consacre donc ce petit poisson luisant de la famille des Clupeidae, dont le hareng fait également partie. Chez Sard'in, la sardine est réhabilitée : très simplement, la boîte de conserve est à nouveau servie à table, « accompagnée de bon pain grillé, de beurre de qualité, de fleur de sel », dixit 20minutes.fr. Mais on peut aussi goûter des tartares ou des soupes…
Si la sardine n’est pas une espèce en voie de disparition, elle souffre néanmoins de la surpêche. Résultat, sans devenir luxe, elle occupe le devant de la scène. C’est le cas dans le 2ème arrondissement de Marseille avec Sard'in. Ici, on parle de la sardine avec superlatifs à la clé, comme si c'était un grand cru : « iodée », « peau croustillante et chair moelleuse », « pêche d'automne », ou encore, « charnue », égrène 20minutes.fr. D'ailleurs, certaines sardines sont des millésimés.
« Le premier bar à sardines au monde » a été lancé par un passionné, Antony Germani. Le jeune chef entrepreneur cherchait « un concept simple et convivial », explique t-il au site de 20minutes. La sardine s’est imposée. Pour garantir le succès de Sard'in, Antony Germani collabore avec le top des conserveries, notamment portugaises et espagnoles. De quoi oublier que le port de Douarnenez dans le Finistère, a longtemps été le premier port de pêche mondial de la sardine, à la pointe également, en matière de conserverie industrielle de poissons. Voeu pieux ? Espérons que le revival de la sardine ressuscite les conserveries bretonnes.
Ainsi, à Marseille, est né le premier bar à sardines du monde, à la fois boutique, restaurant et bientôt cave. Sard'in surfe en effet sur la mode des bars ou food trucks thématiques. Le premier bar du genre, consacre donc ce petit poisson luisant de la famille des Clupeidae, dont le hareng fait également partie. Chez Sard'in, la sardine est réhabilitée : très simplement, la boîte de conserve est à nouveau servie à table, « accompagnée de bon pain grillé, de beurre de qualité, de fleur de sel », dixit 20minutes.fr. Mais on peut aussi goûter des tartares ou des soupes…
Si la sardine n’est pas une espèce en voie de disparition, elle souffre néanmoins de la surpêche. Résultat, sans devenir luxe, elle occupe le devant de la scène. C’est le cas dans le 2ème arrondissement de Marseille avec Sard'in. Ici, on parle de la sardine avec superlatifs à la clé, comme si c'était un grand cru : « iodée », « peau croustillante et chair moelleuse », « pêche d'automne », ou encore, « charnue », égrène 20minutes.fr. D'ailleurs, certaines sardines sont des millésimés.
« Le premier bar à sardines au monde » a été lancé par un passionné, Antony Germani. Le jeune chef entrepreneur cherchait « un concept simple et convivial », explique t-il au site de 20minutes. La sardine s’est imposée. Pour garantir le succès de Sard'in, Antony Germani collabore avec le top des conserveries, notamment portugaises et espagnoles. De quoi oublier que le port de Douarnenez dans le Finistère, a longtemps été le premier port de pêche mondial de la sardine, à la pointe également, en matière de conserverie industrielle de poissons. Voeu pieux ? Espérons que le revival de la sardine ressuscite les conserveries bretonnes.