Ce ne sont pas des salades. Ou plutôt si. La future ferme-usine qui doit sortir de terre, à Kyoto au Japon, sera intégralement automatisée. Et cerise sur le gâteau, les robots agriculteurs y feront pousser jusqu’à dix millions de laitues par an, soit une production de 30 000 laitues par jour. Les salades y pousseront sur des étagères et non plus dans le sol. Surtout, cette usine en construction, la plus grande usine de laitue du monde, doit remplir des objectifs à la fois écologiques et économiques.
Du point de vue écologique, cette usine du futur utilisera zéro pesticide. Dans « cette serre hermétique à l'air extérieur », « 98 % de l'eau sera recyclée », explique à 20minutes.fr, Koji Morisada, un responsable de Spread, la société japonaise à l’origine de ce projet de ferme-usine. Par ailleurs, des « ampoules LED à basse consommation d'énergie » seront utilisées, diminuant ainsi « la facture d'électricité d'au moins 75 % par rapport aux lampes classiques au sodium », selon 20minutes.
D'un point de vue économique, on ne peut pas dire que cette super usine à salades soit créatrice d’emplois. Pourtant, « les coûts de main-d'œuvre seront réduits de moitié », dit le porte-parole de Spread. En effet, « les effectifs présents ne faisant que contrôler les robots. » Ces derniers d’ailleurs, occuperont les postes clés du site de production, peu étendu en surface (4 400 mètres carrés), malgré ses capacités de production. Le site sera donc totalement robotisé : « toutes les étapes de production, de l'ensemencement jusqu'à la récolte, sans oublier l'arrosage, seront assurées par des robots. » L’avènement de cette super usine devrait entraîner une baisse du prix de la laitue au Japon, jusqu’à présent très élevé.
Du point de vue écologique, cette usine du futur utilisera zéro pesticide. Dans « cette serre hermétique à l'air extérieur », « 98 % de l'eau sera recyclée », explique à 20minutes.fr, Koji Morisada, un responsable de Spread, la société japonaise à l’origine de ce projet de ferme-usine. Par ailleurs, des « ampoules LED à basse consommation d'énergie » seront utilisées, diminuant ainsi « la facture d'électricité d'au moins 75 % par rapport aux lampes classiques au sodium », selon 20minutes.
D'un point de vue économique, on ne peut pas dire que cette super usine à salades soit créatrice d’emplois. Pourtant, « les coûts de main-d'œuvre seront réduits de moitié », dit le porte-parole de Spread. En effet, « les effectifs présents ne faisant que contrôler les robots. » Ces derniers d’ailleurs, occuperont les postes clés du site de production, peu étendu en surface (4 400 mètres carrés), malgré ses capacités de production. Le site sera donc totalement robotisé : « toutes les étapes de production, de l'ensemencement jusqu'à la récolte, sans oublier l'arrosage, seront assurées par des robots. » L’avènement de cette super usine devrait entraîner une baisse du prix de la laitue au Japon, jusqu’à présent très élevé.