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Pas moins que les autres téléphones, mais un peu plus tout de même. « Sur les treize premiers téléphones portables 5G qu’elle a pu tester, l'Agence nationale des fréquences (ANFR) n’a pas décelé de niveau d’ondes excessif, a-t-elle indiqué dans un communiqué publié ce mardi. Les treize appareils sont en dessous du seuil maximal fixé par la loi pour l’énergie que leurs ondes apportent au corps humain (débit d’absorption spécifique, DAS) » nous apprend un article du 20 Minutes.
Cette évaluation était très attendue alors que les critiques envers cette nouvelle technologie suscite des interrogations. Et d’autant plus concernant les téléphones portables. Car si la 5G ouvre des opportunités d’innovation intéressantes, pour les téléphones connectés il s’agit pour l’heure surtout de confort.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’ondes, mais qu’elles ne dépassent pas les seuils qui étaient déjà identifiés auparavant. « Ce seuil est fixé à 2 watts par kilo pour le tronc et 4 watts par kilo pour les membres (main qui tient l’appareil, poche de pantalon…). « Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse, et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont colocalisées », a précisé l’ANFR. « Des augmentations moyennes de 0,4 % » pour le tronc « et de 1,8 % » pour les membres ont ainsi été constatées. L’ANFR réalise chaque année des campagnes de vérification des niveaux d’énergie émis par les smartphones du marché. La batterie de test rendue publique mardi concernait un total de 44 appareils, dont les 13 5G. Deux appareils non-5G de la marque Heyou distribuée par Boulanger (EssentielB Heyou 60 et 40) ont été décelés comme non conformes pendant les tests. Une mise à jour logicielle a permis d’abaisser leur niveau d’émission et de les rendre conformes, selon l’ANFR » continue l’article.
Cette évaluation était très attendue alors que les critiques envers cette nouvelle technologie suscite des interrogations. Et d’autant plus concernant les téléphones portables. Car si la 5G ouvre des opportunités d’innovation intéressantes, pour les téléphones connectés il s’agit pour l’heure surtout de confort.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’ondes, mais qu’elles ne dépassent pas les seuils qui étaient déjà identifiés auparavant. « Ce seuil est fixé à 2 watts par kilo pour le tronc et 4 watts par kilo pour les membres (main qui tient l’appareil, poche de pantalon…). « Les premiers contrôles réalisés dans le cadre de la surveillance du marché montrent que la contribution supplémentaire de la 5G est très basse, et n’apparaît que lorsque les antennes 4G et 5G dans le téléphone sont colocalisées », a précisé l’ANFR. « Des augmentations moyennes de 0,4 % » pour le tronc « et de 1,8 % » pour les membres ont ainsi été constatées. L’ANFR réalise chaque année des campagnes de vérification des niveaux d’énergie émis par les smartphones du marché. La batterie de test rendue publique mardi concernait un total de 44 appareils, dont les 13 5G. Deux appareils non-5G de la marque Heyou distribuée par Boulanger (EssentielB Heyou 60 et 40) ont été décelés comme non conformes pendant les tests. Une mise à jour logicielle a permis d’abaisser leur niveau d’émission et de les rendre conformes, selon l’ANFR » continue l’article.