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Le géant planétaire du luxe fait partie de la petite bande de mastodontes qui traverse le Covid-19 sans encombre. Ou du moins de ceux qui dès que cela a été possible ont rebondi. « Le numéro un mondial du luxe LVMH a annoncé mardi avoir commencé l'année en forte croissance avec 14 milliards d'euros de ventes au premier trimestre, dépassant largement celles de la même période en 2019, avant la pandémie. Cette performance est supérieure aux consensus compilés par les agences Bloomberg et Facset, qui tablaient respectivement sur 12,7 et 12,5 milliards d'euros. Le groupe de Bernard Arnault, premier du CAC 40 à dévoiler ses chiffres trimestriels, a fait état d'une croissance du chiffre d'affaires de 30% par rapport à 2020, et 8% par rapport à 2019, à périmètre et change constants » souligne Le Figaro.
Alors que l’on se souvient que la crise Covid-19 avait donné lieu à un bras de fer et des renégociations sur Tiffany & Co, on voit que la marque passée dans l’escarcelle du groupe se porte merveilleusement bien. « La mode et la maroquinerie, sa division phare, «réalise un excellent début d'année et atteint des niveaux records de ventes», selon le communiqué du groupe. Cette division a engrangé à elle seule 6,738 milliards d'euros sur le trimestre soit une croissance organique de 52% par rapport à 2020 et de 37% par rapport à 2019. La division Montre et joaillerie, qui a accueilli en janvier Tiffany acquis pour 13 milliards d'euros, atteint 1,883 milliard d'euros, soit une augmentation de 35% par rapport à 2020 (+1% par rapport à 2019). L'activité Vins & Spiritueux a crû du même ordre » ajoute le quotidien.
Vivant tout de même dans le même système solaire que nous, le groupe a enregistré une baisse dans la distribution en boutiques en Europe. Mais les Etats-Unis et la Chine ont largement rattrapé avec des croissances importantes. L’année s’annonce exceptionnelle alors que 2020 avait enregistré une baisse de 17% du chiffre d’affaires.
Alors que l’on se souvient que la crise Covid-19 avait donné lieu à un bras de fer et des renégociations sur Tiffany & Co, on voit que la marque passée dans l’escarcelle du groupe se porte merveilleusement bien. « La mode et la maroquinerie, sa division phare, «réalise un excellent début d'année et atteint des niveaux records de ventes», selon le communiqué du groupe. Cette division a engrangé à elle seule 6,738 milliards d'euros sur le trimestre soit une croissance organique de 52% par rapport à 2020 et de 37% par rapport à 2019. La division Montre et joaillerie, qui a accueilli en janvier Tiffany acquis pour 13 milliards d'euros, atteint 1,883 milliard d'euros, soit une augmentation de 35% par rapport à 2020 (+1% par rapport à 2019). L'activité Vins & Spiritueux a crû du même ordre » ajoute le quotidien.
Vivant tout de même dans le même système solaire que nous, le groupe a enregistré une baisse dans la distribution en boutiques en Europe. Mais les Etats-Unis et la Chine ont largement rattrapé avec des croissances importantes. L’année s’annonce exceptionnelle alors que 2020 avait enregistré une baisse de 17% du chiffre d’affaires.