Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne de Sputnik France explique que « l'année 2016 a toutes les chances de devenir l'année des femmes au pouvoir. Un certain nombre d'entre elles sont sur le point d'arriver aux affaires tandis que d'autres occupent déjà des postes importants. »
De nombreuses femmes au pouvoir
En premier lieu, Theresa May « nommée mercredi première ministre du Royaume-Uni est la deuxième femme après Margaret Thatcher à occuper ce poste dans l'histoire du pays. Ce sera à elle de gérer le processus difficile de la sortie de l'Union européenne. »
Une autre femme politique, « Hillary Clinton, pourrait bientôt arriver au pouvoir aux Etats-Unis et occuper le poste de président si elle arrive à battre Donald Trump lors de la course à la présidentielle. »
A l'Onu, « six femmes sont sur le point d'accéder à la fonction suprême et devenir secrétaire générale. L’ex-première ministre de Nouvelle-Zélande Helen Clark a le plus de chances d’obtenir le poste. »
L’article de Sputnik France ajoute à sa liste une femme déjà en poste : « la dirigeante du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde. »
Sans parler d’Angela Merkel, la chancelière allemande, ou encore d’Ellen Johnson Sirleaf, « la présidente du Liberia, ainsi que les membres du parlement rwandais qui contient la plus grande proportion de femmes élues au monde. »
Pour finir, l’article de Sputnik France cite Park Geun-hye, la présidente de la Corée du Sud, et Bidhya Devi Bhandari, la présidente du Népal. Il cite enfin Tsai Ing-wen, à la tête de Taïwan.
Cependant, l’article précise que « les femmes au pouvoir sont toujours une exception malgré le fait qu'elles représentent 50% de la population mondiale. »
Lire l’intégralité de l’article de Sputnik France ici.
Une autre femme politique, « Hillary Clinton, pourrait bientôt arriver au pouvoir aux Etats-Unis et occuper le poste de président si elle arrive à battre Donald Trump lors de la course à la présidentielle. »
A l'Onu, « six femmes sont sur le point d'accéder à la fonction suprême et devenir secrétaire générale. L’ex-première ministre de Nouvelle-Zélande Helen Clark a le plus de chances d’obtenir le poste. »
L’article de Sputnik France ajoute à sa liste une femme déjà en poste : « la dirigeante du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde. »
Sans parler d’Angela Merkel, la chancelière allemande, ou encore d’Ellen Johnson Sirleaf, « la présidente du Liberia, ainsi que les membres du parlement rwandais qui contient la plus grande proportion de femmes élues au monde. »
Pour finir, l’article de Sputnik France cite Park Geun-hye, la présidente de la Corée du Sud, et Bidhya Devi Bhandari, la présidente du Népal. Il cite enfin Tsai Ing-wen, à la tête de Taïwan.
Cependant, l’article précise que « les femmes au pouvoir sont toujours une exception malgré le fait qu'elles représentent 50% de la population mondiale. »
Lire l’intégralité de l’article de Sputnik France ici.